2° jour :
je suis dans un lit, enfin si on peut dire qu'un lit est un tapis crasseus posé à mêmes le sol ! Depuis la sortie du tunnel tant de choses se sont passées : je suis arrivé dans une salle circulaire relié par plusieurs couloirs, de chaque couloir sortait des personnes perdues, appeurés comme moi, un peu partout dans la piéce des sortes de libellules en verre gigantesque voletait à 2 ou 3 métres du sol, leurs ailes étais tellement fine que nous redoution (les morts et moi) de faire des pas trop brusque pour éviter que le sons ne casse les ailes délicates de ces libellules de verre. En tant normal je deteste les insecte, ces milliard de petite béte qui nous piquent et nous grattes, mais là, je ne pouvais éviter d'admirer ces grands êtres de verres, on voyait à travers de leur corps comme si il était transglucide, un certain respect envers ces créature s'est déclanchés au plus profond de mon être... Nous avons entendus une bonne demi-heure mais ma montre s'etait arreter et le temps ne semblait plus exister. Une seule porte nous permettait de sortir de la piéce, une porte bleu ciel qui ne donnait aucune envie d'etre ouverte. Pourtant un petit bonhomme trapus avec des oreilles pointus a poussé la porte, on aurait dit que pour lui c'était une corvée quotidienne d'ouvrir cette porte aux longs battants. Le petit bonhomme (j'appris plus tard qu'il se nommait Guilhaume) nous conduisis dans une salle gigantesques au mur d'emeraude, ce qui rendait un aspect convivial dans la piéce. C'est alors qu'est apparus un personnage extraordinaire, d'une taille impossible a préciser, petit ou grand, gros ou maigre, barbus ou chevelus ? C'est comme si son image s'effaçait de notre esprit au fur et a mesure que nous enregistrions les details de son phisique. L'impossible, comme on le surnomme nous a éxpliqué les lois et le cycle de la mort :
"A la fin de ce cycle, disait il, vous aurait le choix : revivre parmi les hommes et oubliés la mort ou prendre ma place, mais avant d'avoir ce choix vous aurait plusieurs épreuves... Pour votre début de nouvelle vie vous serez mendiants dans les rues de notre ville, Mort puis au fur et a mesure de votre séjours, des épreuves aparaitrons, elles se glisseront sur votre chemin et vous serez obligés de les passer, si vous réussisez, vous montez d'un rang, si vous ratez vous rester a tout jamais sur la Mort sous mon commandement... Quand vous arriverez a la derniere classe (les bourgio) vous pourrez enfin faire votre choix ! "
Ainsi j'appris que la mort n'étais pas le paradis ! On me jetta avec les nouveaux venus, dans les rues sombres de la mort, les libellules de verres vole toujour au dessus de nous, et j'essaie de m'habituer à ma nouvelle mort...
1° jour :
Je viens de mourir ! c'est ce que je me dit quand je vois la lumiére Jaune au fond d'un tunnel... Cela doit faire 2 ou 3 jours que j'ai commencé à perdre la vie, je venais de perdre au Risk, enfin "perdre" n'est pas le mot. Mes adversaire : deux idiots à pattes ! Ils ont commencé a regarder mes cartes puis à deplacer mes pionts pour au final transformer la partie en véritable "Guerre mondiale". J'ai alors commencé à balancer à la figure de mon premier adversaire ma limonade ! cette derniére s'est retrouvé bien malgré elle, sur le pif de Brian (mon premier adversaire). Pendant que ce dernier s'arraché la peau pour y décrocher les morceau de verre, mon second adversaire (Paul), voulant se vanter, m'envoya valser à 10 métres de la table. la gaffe ! j'ai eu le bar sur le dos : la serveuse me jettait des regards noirs et je me prenait deux ou trois oeil au beurre noir. C'est ce qui arrive quand on se prend pour un super-héros en se pavanant dans les bars de la rue Myrha ! le lendemain matin je me réveillait à l'hopital de Larivoisiére, dans un lit d'un propre comme l'on n'en voit pas souvent quand on a mon genre de vie. Une infirmiére arrive, je lui demande pourquoi je suis là et elle me gueule dessus ! Elle m'explique (en gueulant) que je suis un con et que je vais peut être mourir parce que j'ai deux cotes brisées et quel'un d'elles à transpercer mon unique poumont en bonne santé ! Maintenant que j'y repense, c'est vrai que j'avais du mal à respirer, mais mon oeil me faisait plus mal et j'etait un peu dans les vapes...
Maintenant je suis mort, et je suis "aspiré" vers le seul endroit lumineux de l'espace qui m'entoure. Je résiste, mais je ne peut pas. un vent léger m'entraine et m'encourage, je me laisse faire, la lumiére m'éblouit, sa y est ma mort à commencé...